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Une Sagesse d’Ibn ‘Atâ’i -Llâh

La félicité, quand bien même seraient diversifiées ses manifestations, consiste seulement en Sa présence et en Son approche. Le tourment, quand bien même seraient diversifiées ses manifestations, consiste seulement dans la présence de ce qui Le voile. La cause du tourment réside donc dans l’existence du voile. Et l’accomplissement de la félicité réside dans la contemplation de Son Noble Visage.

Commentaires

 

Il n’existe qu’un seul grand malheur en vérité : celui d’être éloigné de Dieu. Il n’existe qu’un seul bonheur inaltérable : celui d’être lié à Dieu.

Le mot na‘îm,  que nous avons traduit ici par félicité, désigne aussi les plaisirs et les délices dont l’homme jouit  en ce monde. D’après Ibn Mas‘ûd et Mujâhid, la félicité renvoie à « la sécurité et la santé ». Ibn ‘Abbâs  affirme : « La santé des corps, de l’ouïe et de la vue. » L’expression renvoie également aux aliments.

Mais la félicité suprême réside seulement dans la contemplation du Très Miséricordieux. D’après Suhayb, le Messager de Dieu a dit : « Lorsque les gens du Paradis y seront entrés, Dieu – Béni et Exalté soit-Il – dira :

« Voulez-vous que je vous donne quelque chose en plus ? »

Ils lui répondront :

« N’as-Tu pas blanchi nos visages ? Ne nous as-Tu pas préservés de l’Enfer ? »

Dieu ôtera alors le voile et rien de ce qui leur a été accordé ne sera alors plus aimé d’eux que la vision de leur Seigneur. » (Muslim)

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