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Quand le CRIF se livre à des manoeurvres diffamatoires

 

Les propagandistes sionistes échouent devant la justice

Fait rare qu’il convient de signaler !


Farouchement du côté des opprimés palestiniens, le CBSP (http://www.cbsp.fr/index.php) dérange, notamment le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) , officine de propagande des autorités israéliennes en France.

Son soutien actif à la Palestine et ses dénonciations des crimes commis en toute impunité par l’armée « la plus morale du monde » (sic) en a fait une cible privilégiée des soutiens inconditionnels à la colonisation.

En juin 2010 paraît un article intitulé « Retour sur une nébuleuse du Hamas : le CBSP » et toujours en ligne trois semaines après la décision de la Cour de cassation. Condamnés lors d’un jugement précédent, l’auteur de l’article et son complice, directeur général du CRIF et directeur de publication du site Internet de l’organisation, ont fait appel. Fait remarquable, le ministère public s’est joint aux deux prévenus pour interjeter appel et faire échouer la demande du CBSP. L’Etat français prenait ainsi clairement partie pour le CRIF contre le CBSP (pour Israël contre la Palestine ?).


La Cour de cassation a  rejeté les pourvois du ministère public et des deux prévenus du CRIF et a condamné ces derniers à payer au CBSP 3 000 euros au titre de l’article 618-1 du code de procédure pénale.

Trois mille euros offerts par le CRIF au CBSP, fervent soutien de la Palestine.

Ci-après quelques extraits de l’arrêt de la Cour de cassation, arrêt numéro 13-80440, disponible en intégralité sur le site Juricaf :

http://www.juricaf.org/arret/FRANCE-COURDECASSATION-20140311-1380440

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