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Pourquoi haïssent-ils l’Islam ?

 Cette question nous est souvent posée.

Voici une allégorie qui nous permettra peut-être de le comprendre. 

 

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 Hommes dans une salle obscure

 Depuis un certain temps, les hommes avaient pris l’habitude de vivre dans une vaste salle obscure.

 L’être humain ayant cependant des yeux pour voir, il y avait dans ce lieu des stands où chacun proposait aux autres un peu de lumière à vendre.

 Il y avait là une table où était posé un chandelier à trois branches. On expliquait à ceux qui s’attroupaient autour que le soleil avait pris la forme de l’une de ses bougies, et qu’il avait accepté de fondre pour éclairer les autres…

 

Il y avait une table un peu plus loin, avec sept branches. L’homme qui s’affairait autour prétendait appartenir au peuple élu. Selon lui, il était le dépositaire de la lumière sacrée et disposait de privilèges à lui concédés par la divinité.

 

Il y avait plus loin une table où l’on avait allumé, sur un récipient métallique circulaire, un grand feu. Contre quelques écus, on invitait les personnes intéressées à goûter sans réserve les plaisirs de la vie, en se livrant au culte de la jouissance. La lumière, expliquait-on, est un vain mot. Vous voyez bien qu’autour de nous, tout est ténèbres, à l’exception de ces tisons aussi éphémères qu'ardents.

 

Il y avait encore plus loin une chambre fermée. En entrant, on était ébloui par une lumière diffuse provenant d’un écran numérique géant. Cette chambre s’appelait l’espace des Lumières. En ce lieu, prétendait-on, l’humanité avait atteint son plus haut degré de civilisation, en découvrant par la raison et la science les seules lumières authentiques ! Cependant, le visiteur perspicace sentait bien que cet éclairage ne pouvait se substituer à la lumière naturelle !

 

Tous attiraient plus ou moins de monde, les êtres humains ayant des yeux pour voir. Et tous faisaient le commerce de ces lumières, car les ventes allaient bon train ici et là pour recevoir un peu de clarté.

 

Mais voici qu’un homme, entrant dans cette salle, s’adresse à tous, et leur dit :

 

« Que faites-vous plongés dans cette obscurité ? Voyez, il vous suffirait d’ouvrir cette fenêtre, de pousser ces volets, et vous seriez couverts par la lumière bienfaitrice du jour.

C’est ce dont vous avez besoin, les êtres humains ayant des yeux pour voir ! »

 

Bien qu’extrêmement sensée, cette proposition provoqua un tollé. Les dignitaires  furent les premiers à exprimer leur réticence, pressentant que la lumière du jour finirait par anéantir leur commerce. Mais l’homme, enhardi, monta sur un tabouret, ouvrit la fenêtre, et commença à pousser légèrement les persiennes en disant :

 

« Voyez ! Il n’y a qu’Une Seule Lumière, et elle est la même pour tous ! Vous serez vraiment enfin égaux sous ce rayonnement ! »

 

Alors se produisit ce qui était prévisible. La foule dense se mit à hurler :

 

« Empêchez-le d’ouvrir ces volets ! Empêchez-le ! »

 

A peine, en effet, un filet ténu de lumière vive était-il entré dans la salle obscure, que des hurlements se firent entendre. Cette lumière brûlait les yeux des hommes habitués à vivre dans les ténèbres. Pour d’autres, elle était gênante et insupportable, révélant qu’ils s’étaient jusqu’alors bercés d’illusions, qu’ils s’étaient trompés ou avaient trompé les autres…

 

Voilà pourquoi, cher ami, l’Islam est tant haï.

Il faudra des années pour que, progressivement, les hommes apprécient la lumière naturelle, et choisissent de se débarrasser des idoles fluorescentes qu’ils ont fabriquées.

 

Les hommes ayant des yeux pour voir.

 

Mais ils feraient bien de se réveiller et de ne pas perdre trop de temps. Parce que,  dans un coin caché de cette salle obscure, il y a une minuscule porte que l’on cache pour ne pas y penser.

Pourtant, chaque individu finit par passer par ladite porte, quand il vient à mourir.

 

A l’extérieur, c’est le Plein Jour. 

Le Jour de la résurrection et du jugement.

 

 

 

 

 

 

 

 

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