L’Islam a prescrit la bienfaisance envers les femmes. Notre Prophète Muhammad (Dieu le couvre de bénédictions et de paix) a dit : « Les croyants dont la foi est la plus complète sont ceux qui ont le meilleur comportement ; et les meilleurs d’entre vous sont ceux qui sont les meilleurs pour leurs femmes. » (At-Tirmîdhî, Ibn Mâja)
Des femmes sont venues vers la famille du Prophète en se plaignant de leurs époux. Le Messager de Dieu proclama : « Un grand nombre de femmes se sont approchées de la famille de Muhammad en se plaignant de leurs maris. Ceux-là, ce ne sont pas les meilleurs d’entre vous. » (Abû Dâwûd, an-Nasâ’î, Ibn Mâja)
Des femmes sont venues vers la famille du Prophète en se plaignant de leurs époux. Le Messager de Dieu proclama : « Un grand nombre de femmes se sont approchées de la famille de Muhammad en se plaignant de leurs maris. Ceux-là, ce ne sont pas les meilleurs d’entre vous. » (Abû Dâwûd, an-Nasâ’î, Ibn Mâja)
Il est dit dans le Coran : « Et comportez-vous envers elles en les accompagnant de manière bienveillante. » (Coran, 4, 19)
Le musulman authentique considère ces textes qui le conduisent à montrer le plus grand respect pour la femme, et dès lors, il n’a pas d’autre choix que de se comporter en mari exemplaire, permettant ainsi à son épouse de vivre avec sérénité la relation conjugale.
Quand il entre chez lui, il présente à sa femme et ses enfants un visage avenant et souriant, et il les devance par la salutation bénie qui entre dans les prescriptions de Dieu, et dont Dieu a fait le salut distinct de l’Islam, comme cela est énoncé dans le Coran : « Quand donc vous entrez dans des maisons, adressez-vous mutuellement des salutations venant de Dieu, bénies et agréables. » (Coran, 24, 61)
Le Messager de Dieu (Dieu le couvre de bénédictions et de paix) encourageait lui-même ses Compagnons à prononcer cette salutation, quand il a dit à Anas – que Dieu soit Satisfait de lui – : « Ô mon petit, si tu entres auprès des tiens, salue donc : cela sera une bénédiction pour toi et ta maisonnée. » (At-Tirmîdhî)
Et c’est effectivement une bénédiction – et quelle bénédiction ! – d’aller à la rencontre de sa famille par ces salutations, et de venir à eux comme vient le printemps, éclairant leur vie de joie et de bonheur, y répandant la miséricorde et la douceur des liens intimes.
Le musulman authentique considère ces textes qui le conduisent à montrer le plus grand respect pour la femme, et dès lors, il n’a pas d’autre choix que de se comporter en mari exemplaire, permettant ainsi à son épouse de vivre avec sérénité la relation conjugale.
Quand il entre chez lui, il présente à sa femme et ses enfants un visage avenant et souriant, et il les devance par la salutation bénie qui entre dans les prescriptions de Dieu, et dont Dieu a fait le salut distinct de l’Islam, comme cela est énoncé dans le Coran : « Quand donc vous entrez dans des maisons, adressez-vous mutuellement des salutations venant de Dieu, bénies et agréables. » (Coran, 24, 61)
Le Messager de Dieu (Dieu le couvre de bénédictions et de paix) encourageait lui-même ses Compagnons à prononcer cette salutation, quand il a dit à Anas – que Dieu soit Satisfait de lui – : « Ô mon petit, si tu entres auprès des tiens, salue donc : cela sera une bénédiction pour toi et ta maisonnée. » (At-Tirmîdhî)
Et c’est effectivement une bénédiction – et quelle bénédiction ! – d’aller à la rencontre de sa famille par ces salutations, et de venir à eux comme vient le printemps, éclairant leur vie de joie et de bonheur, y répandant la miséricorde et la douceur des liens intimes.
Le mari vient constamment en aide à son épouse, dès qu’il voit qu’elle a besoin de lui. Il la console par des paroles douces et agréables, dès qu’il perçoit une forme de plainte dans son comportement, parce qu’elle est fatiguée, ou lassée, ou gênée. Il lui fait ressentir qu’elle vit auprès d’un mari fort, généreux et indulgent, qui la protège, qui s’occupe d’elle, qui pense à elle et se soucie de ses affaires, qui comble ses besoins légitimes selon ses possibilités, qui satisfait sa féminité en s’embellissant pour elle selon ce que les principes de l’Islam lui permettent, lui donnant une part de son temps. Il ne passe pas ainsi tous ses moments à étudier, à travailler, à pratiquer ses hobbies ou à assumer ses responsabilités, à fréquenter ses amis, en délaissant complètement son épouse. Car l’Islam a garanti à la femme son droit de pouvoir jouir d’une vie conjugale équilibrée, notamment au niveau des relations de couple, à tel point qu’il ne permet pas au mari de passer tout son temps dans l’adoration, en ignorant sa femme. Cela, alors que l’adoration constitue l’œuvre la plus considérable et la plus noble que puisse entreprendre un humain ! Cela, afin de ne pas rompre le sage équilibre qu’établit notre grande religion entre les différents éléments de notre vie. La chose est particulièrement visible dans le récit de ‘Abdu -Llâh Ibn ‘Amr Ibn al-‘Âs – que Dieu soit Satisfait de lui et de son père –, lorsque le Prophète (Dieu le couvre de bénédictions et de paix) appris qu’il exagérait dans la réalisation de ses œuvres cultuelles. Il lui dit : « N’ai-je pas été informé que tu jeûnes le jour et prie la nuit (sans interruption) ? – Oui, ô Messager de Dieu, lui répondit-il. – N’agis pas ainsi, poursuivit le Prophète (Dieu le couvre de bénédictions et de paix). Jeûne, et romps le jeûne. Dors, et lève-toi pour prier. En vérité, ton corps a un droit sur toi ! En vérité, tes deux yeux ont un droit sur toi ! Et en vérité, ton épouse a un droit sur toi ! En vérité, tes visiteurs ont un droit sur toi !... » (Al-Bukhârî, Muslim)
Le Prophète a fait en sorte de répandre entre ses Compagnons ces enseignements afin qu’ils vivent selon cet équilibre entre le culte et la vie familiale, jusqu’à ce que cela entre dans la nature de leur comportement, de sorte qu’ils se recommandaient mutuellement de respecter ce juste milieu. Ils prenaient le Messager de Dieu comme arbitre, dès que l’un d’entre eux exagérait dans sa volonté de se détacher de toute chose et de se consacrer à l’adoration cultuelle. Al-Bukhârî rapporte ainsi que « le Prophète avait établi un lien de fraternité entre Salmân et Abû ad-Dardâ’ – que Dieu soit Satisfait d’eux –. Salmân rendit visite à Abû ad-Dardâ’, et il constata que son épouse Umm ad-Dardâ’ avait un maintien négligé. Il lui demanda : « Qu’en est-il de toi ? » Elle lui répondit : « Ton frère Abû ad-Dardâ’ n’a aucun besoin de ce bas monde. » Abû ad-Dardâ’ arriva et lui prépara un repas et lui dit : « Mange ! Quant à moi, je jeûne. » Salmân répliqua : « Je ne mangerai pas jusqu’à ce que tu manges. » Il mangea. Quand vint la nuit, Abû Dardâ’ alla pour prier. Salmân lui dit : « Dors. » Il dormit donc. Puis il alla pour prier, et Salmân lui dit à nouveau : « Dors. » Vers la fin de la nuit, Salmân dit : « Lève-toi pour prier à présent. » Ils prièrent tous deux, puis Salmân lui dit : « En vérité, ton Seigneur à un droit sur toi ! Ta propre personne à un droit sur toi ! Ta famille a un droit sur toi ! Donne à tout ayant droit ce qui lui est dû. » Abû Dardâ’ se rendit auprès du Prophète (Dieu le couvre de bénédictions et de paix) et lui mentionna ce qu’avait dit Salmân. Le Prophète affirma alors : « Salmân a dit vrai. » »
Le Prophète a fait en sorte de répandre entre ses Compagnons ces enseignements afin qu’ils vivent selon cet équilibre entre le culte et la vie familiale, jusqu’à ce que cela entre dans la nature de leur comportement, de sorte qu’ils se recommandaient mutuellement de respecter ce juste milieu. Ils prenaient le Messager de Dieu comme arbitre, dès que l’un d’entre eux exagérait dans sa volonté de se détacher de toute chose et de se consacrer à l’adoration cultuelle. Al-Bukhârî rapporte ainsi que « le Prophète avait établi un lien de fraternité entre Salmân et Abû ad-Dardâ’ – que Dieu soit Satisfait d’eux –. Salmân rendit visite à Abû ad-Dardâ’, et il constata que son épouse Umm ad-Dardâ’ avait un maintien négligé. Il lui demanda : « Qu’en est-il de toi ? » Elle lui répondit : « Ton frère Abû ad-Dardâ’ n’a aucun besoin de ce bas monde. » Abû ad-Dardâ’ arriva et lui prépara un repas et lui dit : « Mange ! Quant à moi, je jeûne. » Salmân répliqua : « Je ne mangerai pas jusqu’à ce que tu manges. » Il mangea. Quand vint la nuit, Abû Dardâ’ alla pour prier. Salmân lui dit : « Dors. » Il dormit donc. Puis il alla pour prier, et Salmân lui dit à nouveau : « Dors. » Vers la fin de la nuit, Salmân dit : « Lève-toi pour prier à présent. » Ils prièrent tous deux, puis Salmân lui dit : « En vérité, ton Seigneur à un droit sur toi ! Ta propre personne à un droit sur toi ! Ta famille a un droit sur toi ! Donne à tout ayant droit ce qui lui est dû. » Abû Dardâ’ se rendit auprès du Prophète (Dieu le couvre de bénédictions et de paix) et lui mentionna ce qu’avait dit Salmân. Le Prophète affirma alors : « Salmân a dit vrai. » »
Le musulman se doit ainsi, mes frères et sœurs en Islam, de respecter cet équilibre. Nous demandons à Dieu de nous combler de Ses bénédictions au sein de nos familles. Allâhumma âmîn !