Je reçois, suite à mon précédent papier, des observations pertinentes de Madame Marie-France de Meuron qu’il me semble utile de mettre en évidence. Elle affirme : « Ce qui m'effare dans ces nouveautés toujours plus cruelles, ce sont les balles papillon et les fractures qu'elles occasionnent (photos dans l'article). Ce d'autant plus que les Israéliens connaissent l'état de pénurie des hôpitaux de Gaza. »
Balles papillon
Voyez et lisez plutôt.
Puis expliquez-moi comment Benjamin Netanyahu peut-il encore être reçu dans les capitales occidentales, alors qu’il est le premier responsable de ces atrocités?
Israël a profité de la Grande Marche pour tester ses dernières armes de répression à distance
Par Rebecca Stead, étudiante à l’Université SOAS de Londres. Arabophone et spécialiste du Moyen-Orient et de la Palestine.