Mme Martine Brunshwig Graf admet avoir menti à la presse !
Pas de dysfonctionnement au sein du Département de l’Instruction Publique !
Ni la presse, ni les médias – si prompts à se faire l’écho de mensonges répétés – n’ont rendu compte avec objectivité du rapport montrant qu’il n’existe aucune preuve de la culpabilité du Dr Tariq Ramadan, et qu’il est question plutôt de « rumeurs colportées ».
Ce que dit le rapport des experts indépendants désignés par le Conseil d'Etat sur les abus sexuels : « Les prétendues rumeurs sur un comportement d’abus sexuel de la part de Tariq Ramadan sur des élèves, notamment celles fournies par l’ancienne enseignante de l’École de commerce et relayée par la presse en novembre 2017, ne reposent sur aucun fondement sérieux tant elles sont colportées de manière confuse aussi bien sur la période concernée que sur leur contenu. »
Sur l’implication du DIP : le rapport note que Mme Martine Brunshwig Graf admet avoir menti à la presse lorsqu’elle avait affirmé qu’elle se souvenait qu’une enseignante l’avait appelée pour l’informer des faits. Devant les juges, elle s’est ravisée et a affirmé que cet appel n’avait en fait jamais eu lieu, qu’elle n’était pas au courant des accusations et qu’elle n’avait entendu que des rumeurs. (Radio Lac, 22 novembre 2018). Le rapport conclut donc logiquement qu’au vu des faits, il n’y a pas eu de dysfonctionnement au sein du Département de l’Instruction Publique.
Lire : https://www.reveilcitoyenmedia.com/blog/affaire-tariq-ramadan-la-campagne-de-désinformation-continue-à-propos-du-rapport-genevois
"En conclusion, et à l’heure où les accusations de viols s’effondrent en France, on est en droit de se demander comment et pourquoi tous ces médias, à l’unisson et au même moment, rapportent des informations mensongères et, pourquoi, au gré d’un même accord tacite, aucun média n’a enquêté sur les trois plaignantes françaises dont les mensonges sont aujourd’hui avérés. L’affaire Tariq Ramadan révèle une double trahison de la déontologie journalistique : d’une part, des journalistes, dits d’investigation, rapportent des mensonges qu’ils ne vérifient pas et taisent, d’autre part, des vérités qui gênent leur parti pris idéologique. Ces medias et ces journalistes peuvent bien se présenter comme des journalistes « libres et indépendants », ce que pourtant leurs articles nous servent jour après jour est un naufrage journalistique qui fait miroir au « désastre judiciaire » auquel nous assistons dans l’affaire Tariq Ramadan." Alexandre David