Le sionisme est une idéologie qui, une fois admise, sème dans les consciences la peur, la confusion et la corruption.
Par le pouvoir financier de l’usure, les lobbies finissent par dominer les administrations politiques, si bien qu’elles agissent en accordant aux uns des privilèges qui sont refusés aux autres.
Deux poids, deux mesures. Et au milieu, une hypocrisie sans nom, qui est le fait de ceux qui ont vendu leurs âmes à ce démon qui se présente comme le grand défenseur de l’Etat de droit, mais que l’on n’entend subitement plus, quand on lui demande de condamner le MUR, les projets de la destruction de l’Irak, puis de la Syrie, l’usage du phosphore blanc contre des enfants, et qui de surcroît se permet de faire l’éloge du criminel de guerre Ariel Sharon.
Car de deux choses l’une : soit nous imposons à tous des limites à la liberté d’expression en décrétant que les injures racistes, les blasphèmes contre la foi traduisant un mépris affligeant à l’encontre des communautés religieuses, la banalisation de la shoah, sont des postures inadmissibles, quel que soit le registre de leur énonciation ; soit nous considérons qu’il n’existe aucune limite, et que personne, surtout un humoriste dont c’est précisément le rôle de se rendre ridicule pour nous faire rire, ne devrait être inquiété.
Les sionistes exercent aujourd’hui une forme de terrorisme intellectuel qui défie cette logique.
Ils sont l’exception qui ne confirme aucune règle, sinon celle du pouvoir de l’argent doublé d’une arrogance imbécile.
Qui donc dirige la France ?
Où sont passés les valeurs de la république ?
Exemple de cette hypocrisie caractéristique :
https://www.youtube.com/watch?v=9BHH1ahFw64&list=RD9BHH1ahFw64&t=6