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Burkini interdit sur les plages

On réclame la démission des maires islamophobes

Cette interdiction va à l’encontre des libertés fondamentales garanties par la Déclaration des droits de l’homme! (art.18)

Un maire ou un quelconque élu local qui énonce ou soutient cette interdiction, empêchant par là même des musulmanes de pratiquer librement la natation sur les plages où elles sont libres comme toutes les autres, doit être démis de ses fonctions, parce qu’il va à l’encontre des principes fondamentaux de la république.

Affirmer par ailleurs que  le burkini est une tenue qui n'est pas "respectueuse des bonnes mœurs" , c'est un comble! 

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Pas de place pour les maires islamophobes dans nos républiques 

 

Après Cannes, le maire de Villeneuve-Louvet interdit le burkini sur ses plages

12/08/2016  

Le maire de Villeneuve-Loubet a pris un arrêté dans ce sens la semaine dernière.

 Alors que la polémique fait rage depuis l’annonce dans nos colonnes d’un arrêté municipal interdisant sur les plages de Cannes le port « d’une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse », une autre commune des Alpes-Maritimes a pris une initiative similaire.

Par arrêté municipal, « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » est interdit à Villeneuve-Loubet.

Le député-maire villeneuvois Lionnel Luca a signé cet arrêté le 5 août dernier.

Jeudi, Nice-Matin révélait que le 28 juillet dernier, avant même que la polémique relative à la « journée burkini » (organisée dans un parc aquatique des Bouches du Rhône) n’enfle sur le web, le maire de Cannes David Lisnard avait pris un arrêté interdisant le port « d’une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse alors que le France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’actes terroristes ».

Une décision qui a notamment provoqué le courroux de la Ligue des Droits de l’Homme, qui dénonce un « abus de droit » et envisage de poursuivre cette décision devant la justice.

Nice Matin

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