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Islam et engagement - Page 580

  • BERNARD KOUCHNER ET LA LOGIQUE SIONISTE

    Tout comme son Président de la République, Bernard Kouchner est d’origine juive. Il n’y a aucun mal à cela, et s’en prendre au juif parce qu’il est juif est une infamie. Le problème est qu’il est politiquement engagé, tout comme son Président, dans la ligne de l’axe américano-sioniste, qui ne respecte pas nécessairement les principes de la République, mais bien plutôt ceux autrement juteux des Compagnies pétrolières.

    A Bruxelles ce 14 septembre 2009, il a exprimé  ses doutes à propos de la réunion prévue le 1er octobre entre les grandes puissances et l’Iran sur le programme nucléaire de Téhéran. Voici ses propos : « Vous savez combien il y a eu de rencontres avec l’Iran ? Beaucoup, beaucoup, beaucoup…En faire une de plus, c’est très bien, mais je n’en attends pas grand-chose, hélas ! »

    En d’autres termes, cachant très mal son désir de réduire à néant la République islamique d’Iran, ce ministre a déjà décidé qu’une intervention militaire serait indispensable pour régler la question. Tout comme l’administration Bush et les néo-conservateurs – les Dick Cheney, Donald Rumsfeld et compagnie – avaient en leur temps décidé que l’Irak devait être envahi, en ordonnant une enquête sur les armes de destructions massives, afin de se donner un prétexte provisoire pour mener leur entreprise belliqueuse, même si le prétexte devait s’avérer fumeux et fallacieux par la suite.

    Telle est la logique sioniste : elle est guerrière par essence. Elle se traduit par le massacre des innocents, que personne ne vient secourir à cause du pouvoir de l’argent et la corruption des dirigeants. Et elle vise en premier lieu à s’approprier, contre toute équité, le bien d’autrui, la terre d’autrui.

    Et les oliviers.

    Le sionisme est un danger pour la PAIX MONDIALE.

     

     

    Voir : Témoignage d'un médecin: http://www.youtube.com/watch?v=uuIikTik1gA&feature=related

  • LE SIONISME EN QUESTION : PARTIALITE HAINEUSE ?

     

     Lisons les titres de l’actualité du 16 septembre 2009 :

     

    Rapport accablant sur la guerre à Gaza

    Atrocités

    Une mission d’enquête des Nations Unies dénonce les crimes commis durant l’offensive israélienne contre le territoire palestinien (afp. L’article publié en page 11 de La Tribune de Genève ne mentionne aucune allégation contre le Hamas, et vise les forces armées israéliennes).

     

    Israël sous la menace de la justice internationale (Le Temps)

     

    Est-ce que les agences de presse et les journalistes qui titrent et exposent ainsi leurs comptes-rendus peuvent être soupçonnés de « partialité haineuse » ? Ceux qui le pensent devraient se réveiller et prendre enfin conscience qu’ils défendent une cause perdue aux yeux de l’opinion publique, désormais éclairée sur les méthodes ignobles de l’agression sioniste, depuis la fondation de l’Etat d’Israël jusqu’à nos jours.

     

    En réalité – je le dis au nom des habitants de Gaza qui ont faim mais qui tant que durera l’occupation et la COLONISATION ne rendront JAMAIS les armes –  la haine aveugle et le racisme n’existent que dans le camp de ceux qui sont aujourd’hui encore capables de soutenir les assassins de Tsahal.

  • Rapport de l'ONU : les crimes de Tsahal

     Israël a imposé un blocus de la bande de Gaza qui équivaut à une mesure de punition collective et pratique une politique d'isolement systématique du territoire palestinien, affirme le rapport de 574 pages.

    L'armée israélienne a fait un usage délibéré et disproportionné de la force, ajoute la mission du juge Goldstone. Le principe fondamental de distinction entre objectifs civils et militaires n'a pas été respecté par l'Etat hébreu. Plus de 1400 personnes ont été tuées pendant l'offensive du 27 décembre 2008 au 19 janvier 2009.

    Saisie de la CPI par le Conseil de sécurité

    Le rapport, publié à Genève et New York simultanément, recommande que le Conseil de sécurité de l'ONU nomme un groupe d'experts indépendants. Si, d'ici six mois, ce groupe constate qu'Israël n'a pas enquêté de manière adéquate sur les violations commises à Gaza et poursuivi leurs responsables, le Conseil de sécurité devra saisir de la situation à Gaza le procureur de la Cour pénale internationale (CPI).

    «La politique d'Israël qui prive les Palestiniens de la bande de Gaza de leurs moyens de subsistance, de leurs emplois, de leur logement, de l'accès à l'eau, qui nie leur liberté de mouvement et le droit à entrer et à sortir librement de leur pays peut conduire un tribunal compétent à estimer que le crime de persécution, qui est un crime contre l'humanité, a été commis», affirme le rapport.

    «La mission est arrivée à la conclusion que des actes assimilables à des crimes de guerre et peut-être par certains aspects à des crimes contre l'humanité ont été commis par les Forces israéliennes de défense», a déclaré Richard Goldstone à la presse.

    Attaques intentionnelles

    L'Etat hébreu ne s'est pas entouré «des précautions nécessaires requises par le droit international humanitaire pour limiter les pertes en vies humaines, les blessures occasionnées aux civils et les dommages matériels», précise le rapport.

    Il cite notamment les tirs d'obus au phosphore blanc sur les installations de l'UNRWA (Agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens), «la frappe intentionnelle sur l'hôpital Al-Qods à l'aide d'obus explosifs et au phosphore», «l'attaque contre l'hôpital Al-Wafa», ainsi que contre une mosquée au moment de la prière, autant de «violations du droit international humanitaire», «sans raisons militaires justifiées».

    Réaction israélienne

    Dans une première réaction, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères a répété que son pays rejette le rapport Goldstone parce que son mandat est unilatéral et partial. Malgré ces réserves, il a affirmé qu'« Israël s'engage à agir pleinement en accord avec le droit international et à examiner toutes les allégations de mauvaise conduite de ses forces».

    Jérusalem rappelle que l'armée israélienne a ouvert des enquêtes sur plus de cent allégations concernant le comportement de ses forces pendant les opérations de Gaza. «Même si la plupart de ces enquêtes ont été closes parce que les allégations étaient sans fondement, 23 enquêtes criminelles restent ouvertes», ajoute le ministère des Affaires étrangères.

    Le rapport analyse en détails 36 incidents à Gaza, ainsi que d'autres en Israël et en Cisjordanie, et est fondé sur 188 entretiens individuels représentant plus de dix mille pages de documentation, ainsi que 1200 photographies. Les suites du rapport doivent être discutées le 29 septembre par le Conseil des droits de l'homme, réuni depuis lundi à Genève.

    (ats) Act. 15.09.09; 17:29